Aspects de l'élevage de chevaux et de l'approvisionnement en chevaux dans la Grande-Bretagne victorienne sur JSTOR

Image from page 503 of \La puissance de traction et la capacité de traction du cheval sont restées d'une importance fondamentale pour l'économie et la défense de la Grande-Bretagne victorienne. Cet article cherche à examiner divers aspects de l'offre de chevaux à l'époque victorienne. Il montre, par ailleurs, que le manque d'attention à la sélection dans la lignée femelle a entraîné un déficit à la fois quantitatif et qualitatif de l'offre de certaines catégories de chevaux, tandis que les exportations outre-mer ont considérablement épuisé les stocks d'animaux reproducteurs pour l'agriculture, le commerce et l'armée. Le manque d'approvisionnement et des arrangements d'achat inefficaces menaçaient la continuité des remontées de l'armée, et diverses agences officielles, incitées par les succès allemands lors de la guerre franco-prussienne de 1870-1, réexaminèrent la situation. Les rapports du comité de la Chambre des Lords de 1873 et par la suite de la Commission royale sur l'élevage des chevaux de 1888 n'étaient guère plus que banals et refusaient de recommander l'implication du gouvernement dans l'amélioration équine, malgré les efforts des homologues continentaux dans cette direction. Cependant, la création du Remount Department en tant que branche spéciale de l'armée en 1887 a apporté des améliorations qualitatives aux chevaux militaires, tout comme les divers programmes d'amélioration des étalons et les accords de prime mis en place par la Royal Agricultural Society, la Hunters Improvement Society et d'autres organismes officiels. Ceux-ci visaient la généralité des chevaux. A jeté les bases des accords de licence du vingtième siècle. Au début de ce siècle, cependant, la Grande-Bretagne était un importateur net de chevaux et devait le rester pendant les trois décennies suivantes.